En ce beau matin de février, j’étais invité, au nom d’Essentielle Vannerie, pour un portrait réalisé par des étudiants en 1re année à l’Iffcam, Ménigoute. C’est ainsi que Pierre, Quentin et Anis m’ont chaleureusement accueilli dans leur studio-atelier agencé pour l’occasion, à quelques pas de la Vonne sauvage.
C’est quoi la vannerie sauvage ? Comment j’ai appris ? Ce que j’en fais aujourd’hui, mon projet, mes interventions ? Pourquoi les oiseaux ? Quels liens ?…
Au terme de 3 h 30 d’interview, de face-caméra et de prise de son, nous n’avons qu’effleuré le sujet tellement il est vaste. Plusieurs prises se sont avérées nécessaires pour parvenir à la bonne synthèse, le bon plan.
Le projet iffcamien
Le trio du jour avait pour objectif de réaliser un portrait d’un acteur local, activité manuelle en lien avec la nature.
Le tout en respectant des consignes claires, un scénario à mettre au point, un savoureux mélange de plans, de voix off, d’ellipses cinématographiques, de plans rapprochés ou larges en intérieur et en extérieur et autres effets pour captiver l’attention et le focus… Et un clip de 2 mn au final. Silence, on tourne ! Moteur…
Leur véritable projet va commencer dans quelques semaines ; ce n’était donc qu’une énième répétition. Bravo à tous les 3 pour ce moment d’échanges et de connexion nature 😉
L’Iffcam en bref
L’Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier est situé aux abords de la Vonne à côté de Ménigoute. Depuis bientôt vingt ans, il forme des documentaristes animaliers avec une approche technique pointue, une vision créative. iffcam.net
Interviews réalisés…
Merci à Pierre, Anis et Quentin, tous les trois étudiants à l’Iffcam de Ménigoute. Cet interview a été réalisé dans le cadre du Diplôme d’Université · Réalisation du Film Documentaire Animalier, Nature et Environnement · 1re année · Méthodes et techniques de réalisation. Découvrir la vannerie sauvage aux travers des yeux de l’Iffcam · une chouette expérience · Merci à toute l’équipe ainsi qu’à Marie Daniel, Directrice Iffcam.
Un peu plus de 3 heures de rush .. et trois versions, trois sensibilités, j’adore 😉